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Les premières et terminales Bac Pro Forêt ont pu découvrir une exposition temporaire au centre Pierre Mendès France à Aurillac sur le camps de concentration de Mittelbau-Dora. La visite fut commenté par le Docteur Bourgoignon, fils d’un déporté de Dora. Une dizaine de panneaux mettent en avant  l’existence et le fonctionnement de cette usine souterraine ultrasecrète où étaient fabriquées des armes de destruction comme les bombes volantes V1 et surtout les fusées V2 ancêtres des fusées Saturne V  qui ont permis à l’Homme de marcher sur le Lune. 9000 Français y furent exploités et plus de la moitié y périrent.

La classe de 2nde Bac pro mixte Forêt et CGEA a eu la chance de travailler avec Monsieur Jean-Luc Marcastel auteur cantalien de romans fantastiques. Ce projet rentre dans le dispositif  « Jeunes en librairie » financé par la Région AURA. Les apprenants ont eu plusieurs 1/2 journées pour concevoir leur propre nouvelle fantastique et fabriquer leur couverture avec l’aide d’IA.

Visite de la librairie Point Virgule à Aurillac par la classe de 2nde Bac Pro mixte Forêt et CGEA. Les apprenants ont pu découvrir la chaîne de fabrication du livre et sa distribution dans du dispositif « Jeunes en librairie » financé par la région Auvergne Rhône-Alpes. A la fin de la visite, chacun a pu acheter pour 30€ de livres.

La classe de 2nde Bac pro mixte a pu s’initier durant plusieurs 1/2 journées au théâtre avec Monsieur Laurent Vacher et la compagnie du Bredin. L’intérêt pour les élèves c’est de savoir s’exprimer sur leur métier. Ce projet a été financé par la région Auvergne Rhône-Alpes.

Vendredi matin, la classe de 1ère Pro Forêt a assisté à une représentation théâtrale « Faire parler la Terre » de la compagnie La moitié sont des tiers.

Les 2nd pro (CGEA et forêt) ainsi que les CAPA 1 ont réalisé un TP sur les vers de terre sur deux parcelles de l’exploitation agricole.

L’objectif était de comptabiliser et identifier les différentes catégories de vers de terre sur une prairie et sur une parcelle labourée. Pour cela, les apprentis ont arrosé 1m2 avec de l’eau et de la moutarde afin de récupérer les vers de terre. Malgré le froid et un sol gorgé d’eau les résultats sont plutôt représentatifs.

              

Depuis un an déjà, les classes du cfppa en filière forêt et agricole de tout les niveaux découvrent une nouvelle pédagogie: la classe flexible et autonome. Pour faire simple, l’aménagement flexible est d’abord un état d’esprit, de conviction de l’enseignant. C’est une envie de fonctionner autrement en laissant de l’autonomie aux élèves, en leur confiant les apprentissages. Le principe général est d’aménager la classe afin de permettre aux élèves de trouver la position qui leur apportera le plus de concentration et de confort en fonction de l’activité à mener. En classe flexible, les élèves ont la liberté de choisir où et comment s’installer pour travailler. Ils peuvent travailler seuls, en binôme ou en groupe, sur des coussins, des ballons…

 Le but :

Le but de la classe flexible est de développer 3 compétences transdisciplinaires :

– l’autonomie,

– la prise d’initiative

– la responsabilité.

Les apprentis ont aussi des apprentissages plus ludiques avec de la manipulation: flashcards, globe effaçable, leçon à manipuler, quiz téléphone etc…

Cette semaine la classe de 2nde pro mixte CGEA et Forêt ont eu la chance de rencontrer et de débuter un travail sur l’écriture d’une nouvelle fantastique avec l’auteur aurillacois Jean-Luc Marcastel. Ce travail sera l’occasion de nombreuses autres rencontres avec l’écrivain jusqu’à la finalisation du projet d’écriture.

Ce projet est dans le cadre du dispositif « Jeunes en librairie » et financé par la région AURA.

Mercredi 4 Octobre, les élèves de 1ère pro forêt ont pu vivre un moment rare avec les élèves du lycée G. Pompidou et Duclaux: écouter témoignage de Mme Ginette Kolinka l’une des dernières survivantes de la Shoah.

Cette période de sa vie, elle ne veut pas en parler pendant plus de 50 ans ! même à ses proches. A la fin des années 90, elle se met à se souvenir et à raconter ce qu’elle a vu et connu dans les camps avec un seul objectif: que les jeunes deviennent à leur tour des passeurs de mémoire.